Le blog de Matthias Fekl

Revue de presse - Vélos en location - Article de Sud-Ouest

Vélos en location : ça roule dans le Marmandais

Les élus de l'Agglomération ont inauguré hier le parc de vélos disponibles à la location.

Régine Povéda, Gérard Gouzes et Matthias Fekl ont inauguré le nouveau système de location de vélos de l'Agglo. (photo Alain Guilbaud)

 

L'assistance ne boudait pas son plaisir, hier, à l'idée de voir Gérard Gouzes, le maire de Marmande et président de Val de Garonne Agglomération, enfourcher une monture. Les passants amusés ont pu le voir, accompagné du député Matthias Fekl, faire quelques mètres dans la rue Toupinerie, pour inaugurer symboliquement la mise à disposition du public du nouveau parc de vélos de l'Agglo. « Nous sommes une petite ville avec des transports qui fonctionnent ! », a-t-il déclaré lors d'un bref discours dans la cour de l'office de tourisme. « Malgré les critiques, nous nous développons. »

Le maire a rappelé les débuts modestes des bus sur commande, « dont la demande aujourd'hui explose », a-t-il fièrement précisé, avant de prédire un bel avenir aux quelque seize vélos que les Marmandais peuvent d'ores et déjà louer auprès de l'office de tourisme.

« Les 200 hectares réaménagés de la Filhole n'attendent plus que les cyclistes », a poursuivi Gérard Gouzes, avant de faire un petit clin d'œil au nouveau héros du cyclisme marmandais, Pierrick Fédrigo.

Pliant, électrique, classique

Louables à la journée ou à la demi-journée, pour un tarif compris entre 2 euros et 6 euros, le parc de seize vélos (10 classiques, 3 électriques et 3 pliants) vient donc compléter l'offre de transports d'Evalys.

« C'est surtout une campagne de promotion du vélo, explique Guy Le Roux, directeur régional de Keolis, l'entreprise qui gère les transports de l'agglomération. L'initiative de la mairie vise à familiariser les Marmandais avec la pratique du vélo. »

D'un coût de 5 000 euros, l'opération est unique pour une Agglomération de la taille de Marmande. « Nous ne connaissons aucun autre réseau de ce type dans le Sud-Ouest, hormis évidemment les villes comme Bordeaux ou Pau », déclare Guy Le Roux.

Pallier les manques de bus

Outre l'attrait pour les touristes, les créateurs ont mis l'accent sur le bénéfice que pourraient en tirer les Marmandais. « Par exemple, quelqu'un qui voudrait se rendre dans un endroit où les transports en commun ne circulent pas a la possibilité d'embarquer un vélo pliant dans le bus. Ça le rapprocherait au maximum de sa destination. Il n'aurait alors plus qu'à parcourir la distance restante en bicyclette », poursuit le directeur de Keolis.

Optimiste, l'Agglo n'exclut pas, en fonction du succès rencontré par l'opération, d'agrandir le parc de vélos. Premier bilan dès la fin de l'année.

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Revue de presse - Commémorations Durance, Avance, Ambrus - Article de La Dépêche

Buzet-sur-Baïse. Autour de la croix de Lorraine

Dimanche dernier, nombre d'anciens résistants et amis ont commémoré le souvenir de juillet 1944. Parmi les personnalités présentes, on notait la présence du nouveau député de circonscription Matthias Fekl, du conseiller général Michel de Lapeyrière, du maire de Durance Bernard Daudé- Lagrave, du maire de Damazan Michel Masset, du maire de Buzet Christian Marin, du maire de Saint-Pierre-de-Buzet Patrick de Trétaigne . Les co-organisateurs Michel Ponthoreau, maire de Fargues-sur-Ourbise et président cantonal de l' ANACRA, et Christian Lafougère, maire d'Ambrus, ont été satisfaits de la participation de tous.

Des faits tragiques

La première cérémonie a eu lieu à la stèle de Durance sur la RD 283 où deux maquisards trouvèrent la mort, la gerbe de la municipalité fut déposée par les frères Bardet , lecture des faits par le maire. La deuxième cérémonie a eu lieu à la tour d'Avance où là aussi tombèrent deux maquisards qui participaient au transfert d'un pilote américain vers Meillan. Les faits furent rappelés par Michel Ponthoreau.

Outre les gerbes habituelles de l'ANACRA et de la municipalité, Simone Cessac au nom du groupe Mickey ( main-noire) et la petite-fille d'un des tués M. Lasserre déposaient les leurs.

Croix en chêne massif

A Ambrus, avait lieu l'inauguration d'une croix de Lorraine en chêne massif près de la stèle déplacée pour la circonstance. André Maron, président d'honneur du comité cantonal de l'ANACRA, a offert le chêne et est à l'initiative de son érection. Les communes voisines ont participé à son financement. Son discours et celui de Michel Ponthoreau ont rappelé la nécessité d'être vigilants, le rappel du devoir de mémoire et réclamé la journée de la Résistance le 27 mai chaque année.

Les dépôts de bouquets et gerbes à la stèle ont été effectués par Matthias Fekl et Christian Lafougère, par André Maron et Michel Ponthoreau, par Raoul Renault, ancien résistant du maquis du Raguès, à Ambrus accompagné de Jacques Chantre, ancien résistant interné et déporté.

Christian Lafougère a évoqué l'attaque du maquis d'Ambrus et le triste sort de trois résistants. Un vin d'honneur fut servi, salle des fêtes d'Ambrus à la douzaine de porte-drapeaux présents et à la centaine de participants.

La Dépêche du Midi

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Revue de presse - Fekl pour le retour des audiences du tribunal - article de Sud-Ouest

Fekl pour le retour des audiences du tribunal

Lors de l'audition de la Garde des sceaux à l'Assemblée nationale, le député a évoqué l'avenir du tribunal.

Jeudi dernier, Matthias Fekl et ses collègues de la Commission des lois de l'Assemblée nationale entendaient Christine Taubira, la nouvelle ministre de la Justice. Le député du Marmandais a profité de cette audition pour interpeller la garde des sceaux sur la réforme de la carte judiciaire réalisée par le précédent gouvernement.

« On sait tous que c'est une mauvaise réforme, explique le jeune député, mais nous devons l'évaluer. » Parmi ses interrogations, il a souhaité savoir si la nouvelle carte avait permis la « réalisation d'économies » et son impact sur les « délais ».

Il en a profité pour prendre en exemple l'ancien tribunal de Marmande qui « ne coûtait plus rien à l'État, tandis que les travaux réalisés sur celui d'Agen se montent à 1,8 million d'euros. » Il a pointé une autre conséquence de cette réforme : « Les citoyens les plus modestes sont de plus en plus dissuadés de saisir la justice car celle-ci est trop éloignée. Pour eux, cela est trop cher. »

Les réponses à ces questions demanderont « une évaluation précise » de la chancellerie, explique Matthias Fekl.

Deux solutions envisagées

« S'il y a la moindre possibilité pour que les tribunaux reviennent là où ils ont disparu, je suis d'accord et je me battrai pour celui de Marmande. » Matthias Fekl appelle ce cas de figure le « scénario idéal ». Mais, pragmatique, il formule une hypothèse intermédiaire, celle d'une chambre détachée du tribunal d'Agen à Marmande : « La procédure existe. Des magistrats viendraient siéger ici pour certaines audiences. Cela serait précieux pour les affaires familiales. »

Pour faire avancer ce dossier, il propose une table ronde, en septembre, avec les différents acteurs de ce dossier : associations, maire, magistrats, avocats… Ce sera l'occasion de « faire le point sur les plus et les moins de cette réforme, les solutions à envisager et les dispositifs précis à développer pour un retour de la justice à Marmande. »

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Fin de mon mandat municipal

Le 17 juin dernier, les électeurs de notre circonscription m’ont accordé leur confiance en me faisant l’honneur de m’élire comme député de Lot-et-Garonne à l’Assemblée Nationale.

Avec ma suppléante, Régine POVEDA, nous avons mené une campagne de terrain, intransigeante sur le fond mais toujours respectueuse des personnes. Au terme de ces mois de rencontres, de débats et d’échanges, nous avons remporté une victoire claire et nette que peu de monde prédisait il y a encore quelques mois.

Sur Marmande comme sur la circonscription, le résultat de ce scrutin est sans appel : les électeurs ont voté pour le changement. Pour ma part, j’en tire un immense sentiment de responsabilité. Cette victoire nous engage pour les années à venir : avec le Président de la République, nous avons l’obligation de réussir le quinquennat, de tenir nos engagements, de redresser notre pays dans la justice et, ainsi, de préparer l’avenir.

Comme je l’ai indiqué tout au long de ma campagne, je serai un député actif pour notre territoire, en étant présent sur le terrain et en portant avec force les dossiers de Marmande et de la circonscription.

Comme j’ai eu l’occasion de le dire à plusieurs reprises durant ma campagne, et conformément à la législation sur le cumul des mandats qui n’autorise les députés à n’avoir qu’un seul mandat local, je cesserai de faire partie du Conseil municipal de Marmande dès le prochain conseil du 23 juillet 2012.

Tout au long de cette campagne, j’ai porté avec toute une équipe un projet pour notre territoire. C’est en cohérence avec ce projet que j’ai fait le choix de rester conseiller régional. Tout autre choix aurait en effet conduit à une situation préjudiciable, puisque ni la ville de Marmande, ni la circonscription n’auraient plus été représentées dans l’équipe d’Alain Rousset. Nous aurions ainsi affaibli considérablement un levier essentiel à notre action, car sans la Région, bien des projets seraient impossibles à réaliser.

Pour autant, je resterai bien évidemment présent à Marmande : je ne quitte ni la vie municipale, ni Marmande, ni les Marmandais. Je n’oublie pas les enjeux qui sont devant nous. C’est à Marmande qu’a véritablement commencé mon engagement dans la vie publique de notre pays. C’est aussi à Marmande que je suis devenu propriétaire de ma maison. En un mot comme en mille, c’est à Marmande qu’est l’origine et le coeur de mon enracinement, c’est ici que j’ai fait le choix de  m’ancrer durablement, et rien ne pourra altérer ce lien.

C'est dans cet état d'esprit que je vous dis à très bientôt !

Matthias Fekl

Développement économique - Cluster 47 - Article de Sud-Ouest

Deux nouveaux clusters ont été labellisés hier par la commission permanente du Conseil général. L'un porte sur l'écoconstruction, l'autre sur les phytosanitaires naturels.

Politiques, représentants des chambres consulaires et porteurs des Clusters

étaient réunis hier à Saint-Jacques. (photo thierry breton)

Cinq dossiers (1) ont été déposés suite à l'appel à projets Clusters 47 lancé en octobre par le Conseil général dans le cadre de son Schéma de développement économique. Hier, deux d'entre eux ont été labellisés et bénéficieront ainsi du soutien financier du Département pour les frais d'animation, de promotion et les projets à venir, afin « de créer les conditions les plus favorables au développement économique », a évoqué Pierre Camani, président du Conseil général.

Le cluster « éclair », qui porte sur la thématique de l'écoconstruction, réunit six entreprises (Garrigues, la CIR, E.Bat, Climater, François de la Serre et Hobo architecture), l'École d'architecture de Bordeaux et le Centre d'architecture et d'urbanisme de Lot-et-Garonne (CAUE) ainsi que le centre de formation des apprentis du bâtiment d'Agen. Ce cluster s'engage dans une démarche répondant aux exigences Haute qualité environnementale (HQE) et Bâtiment de basse consommation (BBC).

Conjugaison de savoir-faire

Face à de nombreuses contraintes sur le plan des économies d'énergie, les nouveaux associés entendent, « grâce à une industrialisation de la production », proposer des travaux de qualité, produits en Lot-et-Garonne, à des prix corrects et dans des délais rapides. Une addition de qualités qui, selon Laurent Guarrigues, offrira une « bonne compétitivité pour répondre aux appels d'offres ».

Le second lauréat du jour, « Les plantes au service des plantes », répond à « une grosse attente des consommateurs pour des produits phytosanitaires naturels », assure Pierre Jannot, gérant de Rouages. « Et si nous nous connaissions, cet appel à projets nous a permis de nous rapprocher. » Quatre autres entreprises du secteur ont en effet rejoint l'aventure : Danival, De Sangosse, Unicoque et Cabso, auxquelles il faut ajouter trois centres de recherche et le lycée agricole de Nérac.

« Pour ces deux clusters, il s'agit de projets aboutis qui correspondent à une forte demande », juge Jacques Bilirit, vice-président du Conseil général en charge du développement économique. Pour Matthias Fekl, conseiller régional, « la démarche cluster est importante dans un contexte national difficile. Le Lot-et-Garonne est un département agricole, artisanal et industriel. C'est en conjuguant les forces du territoire que nous créerons des leviers de croissance. »

(1) Début 2013, « Bois et énergie du Fumélois » et « Agro-ressources », deux projets qui ont séduit le jury mais qui méritaient d'être encore un peu « affinés », devraient à leur tour être labellisés.

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